"Salut ma biche, moi j'ai une bite." C'est en ces mots empreints de poésie que Pervers Popo a apostrophé une AVS dans la cour. Puis il a réitéré avec une autre un peu plus tard. On avance, hein, je crois qu'on peut le dire fièrement, la prise en charge par l'assistant social est d'ores et déjà une belle réussite!
En même temps, ce qu'il lui faut ce sont de nombreuses heures de psychothérapie à ce petit poète donc on n'est pas prêts de voir des améliorations pour le moment, il faut bien se le dire.
Le bon côté des choses c'est que moi je m'inquiétais beaucoup pour l'avenir de ce petit mais j'ai compris cette semaine qu'il pourrait devenir maire du Havre donc ça va je suis rassurée. Et oui, pour avoir l'idée d'envoyer des photos de son cul (et je reste sans doute à quelques centimètres de la réalité) à des femmes qui n'avaient rien réclamé de la sorte, il faut quand même avoir quelques trucs à régler avec soi-même, non?
Je me demande si le gars a accompagné ses photos d'un "Salut ma biche, moi j'ai une bite." Non parce que s'il ne l'a pas fait franchement c'est dommage, c'était hyper opportun. Carrément! S'il y a bien un moment où cette phrase pouvait prendre tout son sens, c'est bien là, bien plus que lorsque c'est un gamin de CE1 qui s'adresse à une adulte dans la cour de l'école.
A part ça, Pervers Popo n'était pas à l'école ces derniers jours, trop occupé à inonder le monde de ses pervers selfies ... nan je déconne, il a attrapé un virus sur la langue, et là je ne déconne pas, eh, eh, mais je ne préfère pas savoir où il a bien pu aller la fourrer pour attraper ça!
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